Quand on déteste ton enfant...
Ça vous est déjà arrivé d'être aux prises avec un professeur ou un éducateur qui ne semble pas aimer un de vos enfants? Ça vous est déjà arrivé d'être témoin de l'attitude négative de ce prof ou éducateur?
Quand on met un enfant au monde, on s'imagine parfois (à tort bien entendu) qu'il est le plus beau, le plus merveilleux, le plus parfait. Un jour on apprend que ce n'est pas tout le monde qui voit cela de la même manière que nous.
Vient un jour où on est confrontés au fait qu'un adulte dans la vie d'un de nos enfants ne l'apprécie pas du tout. On se force à accepter que cette personne en position d'autorité n'éprouve pas pour notre enfant de sentiments positifs. On accepte que parfois la chimie ne se développe pas.
Mais quand on se frappe à celui qui, au-delà de ne pas apprécier cher rejeton, le déteste carrément, on ne sait plus quoi faire. On ne comprend pas comment c'est possible. On ne peut concevoir que cet adulte se donne le droit d'avoir ce genre de comportement envers un enfant.
J'en suis malheureusement à ma deuxième expérience du genre. Ma première aura été moins intense que celle avec laquelle je "deal" présentement. Le professeur de deuxième année de mon fils a pris ce dernier en aversion une fois que j'ai tenté de l'aider face à la dyspraxie de mon spécial du chef.
Cette année, ma grosse dinde de 5 ans a fait son entrée dans le monde du camp de jour. Tout se passe bien jusqu'à la semaine dernière où elle fait la connaissance d'une éducatrice chipie qui a décidé que ma poulette est la source de tous les problèmes au camp. Pas une journée ne passe sans commentaire négatif à son égard, souvent exprimé devant ma fille. ASSEZ!
De retrait, en punition, en perte de privilège, on accuse ma fille de tous les torts. Oui, elle déplace de l'air, beaucoup d'air même. Oui elle jase, oui elle bouge. Et pourquoi ne pas s'en servir de cette petite boule d'énergie? Elle est une meneuse née, eh bien sers-toi en! Je n'ai jamais de ma vie autant eu envie de sacrer une bonne taloche derrière la tête à quelqu'un. C'est à croire qu'elle n'a jamais rencontré d'enfant énergique avant la mienne.
Eh bien chère monitrice d'un camp dont je taierai le nom, j'espère qu'un jour tu liras ce billet et que tu prendras conscience des dommages affligés à ma fille. J'espère aussi que tu comprendras que je suis fière d'elle. Elle t'a tenu tête, elle t'a rendu la monnaie de ta pièce et rien ne pourrait me rendre plus heureuse que de la voir se tenir debout du haut de ses 5 ans. Et toi, je te suggère fortement de te réorienter dans autre choses...les enfants des autres, c'est pas ton "bag". Et ma fille, tu l'emmerde!
Quand on met un enfant au monde, on s'imagine parfois (à tort bien entendu) qu'il est le plus beau, le plus merveilleux, le plus parfait. Un jour on apprend que ce n'est pas tout le monde qui voit cela de la même manière que nous.
Vient un jour où on est confrontés au fait qu'un adulte dans la vie d'un de nos enfants ne l'apprécie pas du tout. On se force à accepter que cette personne en position d'autorité n'éprouve pas pour notre enfant de sentiments positifs. On accepte que parfois la chimie ne se développe pas.
Mais quand on se frappe à celui qui, au-delà de ne pas apprécier cher rejeton, le déteste carrément, on ne sait plus quoi faire. On ne comprend pas comment c'est possible. On ne peut concevoir que cet adulte se donne le droit d'avoir ce genre de comportement envers un enfant.
J'en suis malheureusement à ma deuxième expérience du genre. Ma première aura été moins intense que celle avec laquelle je "deal" présentement. Le professeur de deuxième année de mon fils a pris ce dernier en aversion une fois que j'ai tenté de l'aider face à la dyspraxie de mon spécial du chef.
Cette année, ma grosse dinde de 5 ans a fait son entrée dans le monde du camp de jour. Tout se passe bien jusqu'à la semaine dernière où elle fait la connaissance d'une éducatrice chipie qui a décidé que ma poulette est la source de tous les problèmes au camp. Pas une journée ne passe sans commentaire négatif à son égard, souvent exprimé devant ma fille. ASSEZ!
De retrait, en punition, en perte de privilège, on accuse ma fille de tous les torts. Oui, elle déplace de l'air, beaucoup d'air même. Oui elle jase, oui elle bouge. Et pourquoi ne pas s'en servir de cette petite boule d'énergie? Elle est une meneuse née, eh bien sers-toi en! Je n'ai jamais de ma vie autant eu envie de sacrer une bonne taloche derrière la tête à quelqu'un. C'est à croire qu'elle n'a jamais rencontré d'enfant énergique avant la mienne.
Eh bien chère monitrice d'un camp dont je taierai le nom, j'espère qu'un jour tu liras ce billet et que tu prendras conscience des dommages affligés à ma fille. J'espère aussi que tu comprendras que je suis fière d'elle. Elle t'a tenu tête, elle t'a rendu la monnaie de ta pièce et rien ne pourrait me rendre plus heureuse que de la voir se tenir debout du haut de ses 5 ans. Et toi, je te suggère fortement de te réorienter dans autre choses...les enfants des autres, c'est pas ton "bag". Et ma fille, tu l'emmerde!
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